Lors de la visite nous aurons l’occasion d’évoquer les nombreuses familles propriétaires du site et le cas échéant leur contribution aux modifications apportées. Outre les extérieurs du château, nous jetterons un œil aux cuisines, puis nous parcourrons le parc et ses essences rares, dont quelques séquoias qui ont survécu à la tempête de 1987. Nous découvrirons la chapelle à l’orée des bois, la fontaine, le lavoir et le plan d’eau.

La chapelle de la Véronique en Bannalec, édifiée vers 1610 a remplacé la chapelle de Locmaria, sans doute détruite par les ligueurs défaits sous les murs du château de Quimerc’h en Bannalec. La motte féodale de Goarlot, seigneurie suzeraine de Kernével, jouxte le manoir-métairie du même nom. Les propriétaires actuels en ont relevé les bâtiments il y a 40 ans.

La chapelle Saint-Maurice du Moustoir en Kernével, achevée en 1538 aurait été construite sur un ermitage repris par les Templiers puis les Cisterciens de l’abbaye de Carnoët fondée par Saint Maurice.

Située sur la voie romaine Quimper-Vannes, cette chapelle était une halte pour les pèlerins du Tro Breiz. Le manoir est remarquable par sa tour et son pigeonnier.

La chapelle Saint-Maurice du Moustoir en Kernével, achevée en 1538 aurait été construite sur un ermitage repris par les Templiers puis les Cisterciens de l’abbaye de Carnoët fondée par Saint Maurice.

Située sur la voie romaine Quimper-Vannes, cette chapelle était une halte pour les pèlerins du Tro Breiz. Le manoir est remarquable par sa tour et son pigeonnier.

Les beaux-parents de Pierre Le Cor habitaient Parc-an-Breac’h, non loin de la chapelle de Saint-Éloi, célèbre au XIXe siècle pour son pardon des chevaux. Pierre Loti aimait à se promener dans les bois aux alentours et c’est devant la chapelle de Saint-Éloi que s’achève son roman Mon frère Yves.

Visite de la chapelle, évocation du pardon des chevaux, de la présence de Loti, lectures, petite balade aux environs.

Pierre Loti tenait à se rendre au pardon de Notre-Dame de Bonne-Nouvelle quand il n’était pas en mer. Un pardon fréquenté par les marins de la côte à l’époque et qu’il décrit dans Mon frère Yves. Il se fit même tailler un habit Melenig à cette occasion.

Visite de la chapelle, évocation de la vie de Pierre Loti, petite balade aux alentours, un brin de lectures lotiennes.

À partir de 1878, Pierre Loti fréquente Rosporden où son ami Pierre Le Cor s’est marié à une Rospordinoise, Marie-Anne Le Dœuff. Il est le parrain de leur fils, Julien, baptisé sur les fonts baptismaux de l’église de Rosporden, des événements racontés dans son roman Mon frère Yves.

Une balade entre le chemin de fer, la maison de Pierre Le Cor et l’église Notre-Dame.

Ce n’est pas par hasard si cette balade dans les rues de Rosporden part de la gare. Quand le chemin de fer arrive en 1863, il est un élément essentiel de la vie économique de la cité. Bourg agricole, Rosporden se développe avec la création d’entreprises liées à l’agriculture (beurreries, biscuiteries, conserveries, salaisons) ou pas (tréfileries, cirage et produits d’entretien, chaussures). Les usines se développent et scandent la vie de la commune et de ses alentours.

C’est cette histoire que nous vous proposons d’évoquer en déambulant dans les rues de la cité des étangs.

Ce n’est pas par hasard si cette balade dans les rues de Rosporden part de la gare. Quand le chemin de fer arrive en 1863, il est un élément essentiel de la vie économique de la cité. Bourg agricole, Rosporden se développe avec la création d’entreprises liées à l’agriculture (beurreries, biscuiteries, conserveries, salaisons) ou pas (tréfileries, cirage et produits d’entretien, chaussures). Les usines se développent et scandent la vie de la commune et de ses alentours.

C’est cette histoire que nous vous proposons d’évoquer en déambulant dans les rues de la cité des étangs.

Ce n’est pas par hasard si cette balade dans les rues de Rosporden part de la gare. Quand le chemin de fer arrive en 1863, il est un élément essentiel de la vie économique de la cité. Bourg agricole, Rosporden se développe avec la création d’entreprises liées à l’agriculture (beurreries, biscuiteries, conserveries, salaisons) ou pas (tréfileries, cirage et produits d’entretien, chaussures). Les usines se développent et scandent la vie de la commune et de ses alentours.

C’est cette histoire que nous vous proposons d’évoquer en déambulant dans les rues de la cité des étangs.