Lors de la visite, les nombreuses familles propriétaires du site et le cas échéant leur contribution aux modifications apportées seront évoquées. Outre les extérieurs du château, nous jetterons un œil aux travaux en cours, puis nous parcourrons le parc et ses essences rares, dont quelques séquoias qui ont survécu à la tempête de 1987. Nous découvrirons la chapelle à l’orée des bois, la fontaine, le lavoir et le plan d’eau.

Lors de la visite, les nombreuses familles propriétaires du site et le cas échéant leur contribution aux modifications apportées seront évoquées. Outre les extérieurs du château, nous jetterons un œil aux travaux en cours, puis nous parcourrons le parc et ses essences rares, dont quelques séquoias qui ont survécu à la tempête de 1987. Nous découvrirons la chapelle à l’orée des bois, la fontaine, le lavoir et le plan d’eau.

La chapelle Saint-Maurice du Moustoir en Kernével, achevée en 1538 aurait été construite sur un ermitage repris par les Templiers puis les Cisterciens de l’abbaye de Carnoët fondée par Saint Maurice.

Située sur la voie romaine Quimper-Vannes, cette chapelle était une halte pour les pèlerins du Tro Breiz. Le manoir est remarquable par sa tour et son pigeonnier.

Érigée en 1706 par Charles Robert, comte de Kermeno et baron de Goarlot. La tradition orale suggère qu’elle aurait été bâtie afin de remplacer une chapelle ruinée connue sous le vocable de Saint-Diboan, naguère située en contrebas au sud-est de Quistinit.

La chapelle de la Véronique en Bannalec, édifiée vers 1610 a remplacé la chapelle de Locmaria, sans doute détruite par les ligueurs défaits sous les murs du château de Quimerc’h en Bannalec.
La motte féodale de Goarlot, seigneurie suzeraine de Kernével, jouxte le manoir-métairie du même nom. Les propriétaires actuels en ont relevé les bâtiments il y a 40 ans.

Parce que les parents de Marie-Anne Le Doeuff habitaient Park-an-Breac’h, Loti a découvert la modeste chapelle de Saint-Éloi. C’est au crépuscule devant cette chapelle célèbre pour son pardon des chevaux que s’achève le roman «Mon frère Yves».

Visite de la chapelle, évocation du pardon des chevaux, de la présence de Loti, lectures, petite balade aux environs.

Parce que les parents de Marie-Anne Le Doeuff habitaient Park-an-Breac’h, Loti a découvert la modeste chapelle de Saint-Éloi. C’est au crépuscule devant cette chapelle célèbre pour son pardon des chevaux que s’achève le roman «Mon frère Yves».

Visite de la chapelle, évocation du pardon des chevaux, de la présence de Loti, lectures, petite balade aux environs.

Quant il n’était pas à la mer, Pierre Loti tenait à se rendre au pardon de Notre-Dame de Bonne-Nouvelle. Un pardon fréquenté par les marins de la côte à l’époque et qu’il décrit dans « Mon frère Yves ». Il se fit même tailler un habit Melenig à cette occasion.

Visite de la chapelle, évocation de la vie de Pierre Loti, petite balade aux alentours, un brin de lectures lotiennes.

Quant il n’était pas à la mer, Pierre Loti tenait à se rendre au pardon de Notre-Dame de Bonne-Nouvelle. Un pardon fréquenté par les marins de la côte à l’époque et qu’il décrit dans « Mon frère Yves ». Il se fit même tailler un habit Melenig à cette occasion.

Visite de la chapelle, évocation de la vie de Pierre Loti, petite balade aux alentours, un brin de lectures lotiennes.

À partir de 1878, Pierre Loti fréquente Rosporden où son ami Pierre Le Cor s’est marié à une Rospordinoise, Marie-Anne Le Doeuff. Il est le parrain de leur fils, Julien, baptisé sur les fonts baptismaux de l’église de Rosporden, des événements racontés dans son roman « Mon frère Yves ».

Une balade entre la vieille église, les étangs, le chemin de fer, et la maison de Pierre Le Cor.